
Posted on août 28, 2013
Il y a dans nos regards quelque chose
qui trempe avec le temps.
Comme d’interminables escalades,
comme d’interminables escrimes.
Être toujours pour ne pas être qui meurt,
être qui vit pour ne pas se tromper…
Peur de vivre ou peur d’y mourir,
qu’y de nous, qui n’y peut y répondre…
Y sûr, dans ce cri qu’une sirène écrit…
éponge crue, question versée d’un nu désabusé…
Un accord se pose, une terre naît, un regard,
peu de gestes, peu de restes, une guerre se les dispute…
Une écuelle, peur être, un peu d’humanité, certes, aimer,
ce n’est plus dans le vocabulaire, d’accord, mais c’est né…