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Robertfred.com, poésie. “Aimer, sinon c’est faux”
Auteur de poésie en vers libre, Robert Fred vit sa poésie dans la Genève contemporaine, sa diversité, ses institutions internationales, et ses racines populaires de grand village que garde encore intact le cadre de la Vieille Ville, chère à son cœur. Il s’exprime le plus souvent par le poème français court, dans un dialogue intime.
C’est épris de paix que Robert Fred cherche la voix de la conscience qui pourrait appeler à l’évidence de se remettre en question. Pour aboutir à un monde possible, possible non par l’infinie ressource du monde, mais possible par un changement profond de la manière dont on le perçoit. Gardant en son âme l’amour de la nature qui reste très présente à Genève, la poésie suisse contemporaine de Robert Fred invite le lecteur à un regard sur lui-même, à une réflexion intérieure face aux mystères du vivant.
C’est par la secrète espérance que le terrain d’exploration qu’est la conscience profonde de l’âme soit enfin reconnue, et qu’elle puisse participer à la réconciliation de la responsabilité de l’homme et de son rôle dans la nature, plutôt que d’extraire de leur combat l’un contre l’autre les élixirs destructeurs du nombrilisme. Par ce moyen faire entendre une voix qui puisse susciter l’étincelle du changement, un monde meilleur, dans le cœur d’un lecteur.
Bio
Aimer, sinon c’est faux.
Regard et liberté, ou comment le regard que l’on porte sur le monde agit en nous.
Nous ne pouvons être libre physiquement, du moins en totalité, il faut donc une fenêtre, un recours. Le regard que l’on porte sur le monde n’est pas neutre, c’est une action, une porte, un parcours. Par ce regard, l’être se réalise, comprend son incarnation, et trouve sa place. Le regard vers l’extérieur est une introspection, une interaction et une constitution.
Mes sources sont : Saint-Exupéry, Marc Twain, Hermann Hesse, Rainer Maria Rilke, Cendrars et Khayyâm.
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À Paris, Librairie Gay-Lussac, le 7 octobre 2021 à 18h
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Au Café Slatkine le 4 novembre 2021 à 18h
Un poème pour rien Avec: Robert FRED et Gérard GUY, auteur et illustrateur Le jeudi 4 novembre 20121 à 18h...
Ce sont des poèmes comme des oiseaux que l’on lâche d’une cage qui tentent d’interpeller l’homme face à sa propre nature ; non de la disparition de l’un ou de l’autre, mais bien de la responsabilité et l’intelligence d’un homme transformé dans l’équilibre, et surtout dans le respect. Homme responsable de sa propre vie, de son environnement.
« Les paraboles d’un indigné », par exemple, un livre de poésie contemporaine ou l’auteur aborde les travers de la société de l’argent en faisant appel au for intérieur de l’homme, en lui posant la question de sa propre démesure, et soulevant l’éventuelle réconciliation qui pourrait exister entre les hommes, leur environnement, et la nature elle-même dont il font partie et où ils ont une place. « Terre », où il tente de comprendre ce qui dans le fond de l’homme l’incite à se comporter comme un enfant et à tout piétiner sur son passage. Est-ce l’ignorance, la bêtise, ou l’orgueil ? L’auteur essaie de trouver la voie de la sagesse, de la tempérance et de l’entente. « Tempête », où l’homme, dans sa désolation cherche secours à la mer, dans le poème, où il cherche sa rédemption, et où les éléments le mettent face à lui-même, et le rapprochent finalement de la terre.
Dans le cadre peut-être d’une poésie moderne, auteurs et personnes de bonne intention trouveront une ressource vivante, un lien. Si une seule petite étincelle peut jaillir de cette tentative, alors l’œuvre d’une vie aura abouti.
Poésie dans une Genève contemporaine où les Nations Unies ont en sens ! Poésie, où le monde uni dialogue ! Poésie dans un monde qui se surpasse pour offrir à nos enfants la ronde planète de leurs enfants à leurs enfants…