Posted on juillet 30, 2017

Avec leurs grandes griffes il griffent
les beaux rêves que l’on tisse.
Avec leurs grandes pattes il piétinent
le fin tissage des fruits de l’estime.

Avec leur haleine de haine ils brûlent
le sein clair des jeunes filles tranquilles.
Avec leur viscères érectiles ils pourrissent
le paradis vert de grands claques voilés…

Ce sont les griffons, des fous, des barbares sanguinaires,
ils tranchent à l’aveugle et se répandent en hallali de shrapnels ;
ce sont les assassins d‘Alamut, ils ont repris du service,
la secte hystérique, cette fois, se défonce à la méthamphétamine…

Categories: Poème

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