Posted on septembre 24, 2015
Nous regardons l’horizon
comme autant d’attentes
mais les vagues nous annoncent
d’être doux à les attendre…
C’est le rond du regard
sur le hasard du vent
le rotor de l’histoire
sur nos désirs brûlants…
Il n’y a de chien
que notre impatience,
elle mord nos chevilles
que de n’y croire encore…
croire quoi ? Le silence ?
La patience d’être soi
de mourir pour être là
de vivre pour rester
Parce qu’on a peur de partir…
Et puis on oublie d’être ici,
de mourir, parce qu’on a peur,
et puis on a peur, alors on ne fait rien…
C’est ça, toute la question est là.
A-t-on assez confiance pour vivre ?
Pourquoi pas ?